Il était bientôt 9h30 ce dimanche, en apparence tout allait bien, mais en coulisse, les chefs commençaient à s’activer et l’inquiétude montait doucement … En effet un chef tarde à arriver, pourtant, cela n’arrive jamais, les chefs sont toujours à l’heure ! La réunion commença, mais toujours pas de nouvelles. Les chefs n’avaient pas d’autre choix que de l’annoncer aux baladins. Ceux-ci décidèrent alors de se rendre tous ensemble au domicile du chef absent pour découvrir ce qu’il se passait. Mais arrivés devant sa maison, quelle ne fut pas leur surprise de découvrir une lettre d’un certain El Mysterio leur annonçant qu’il avait kidnappé le-dit chef et leur demandait une rançon de 100 000 000 balaflouzes pour revoir le chef en vie et en un seul morceau. Ne perdant pas un instant, ils se mirent à l’ouvrage afin de récolter le plus d’argent possible grâce à une liste de tâches à réaliser. Les heures passèrent, et au moment où leurs ventres se firent entendre, les baladins n’avaient pas même récolté le tiers de la somme demandée. De plus, une seconde lettre du fameux El Mysterio arriva. Celle-ci annonçait qu’au vu de la lenteur des baladins pour trouver l’argent, il avait tué un Doudou et qu’il allait recommencer toutes les heures. Ni une, ni deux, les balas se lancèrent à sa poursuite, allant de scène de crime en scène de crime, d’indices en indices. D’ailleurs, un spécialiste de tueurs de doudou les rejoignit pour les aider à trouver ses indices en résolvant les énigmes laissées par El Mysterio, mais surtout en les aidant à deviner où se trouverait la prochaine scène de crime par des méthodes aux caractères scientifiques assez douteux. À la dernière scène de crime, les balas comprirent que ce spécialiste les menait en bateau depuis le début de l’après-midi. Ils l’attrapèrent, le fouillèrent et découvrirent les cartes de visites qu’El Mysterio laissaient sur chaque scène de crime. EURÊKA ! Ce pseudo-spécialiste était en réalité El Mysterio ! Après un interrogatoire assez rapide il avoua tout et le chef put être libéré sain et sauf.
Le staff baladin




















